« Plus tard cette ligne rigide s’est ouverte et elle est devenue à la fois un angle et une surface, un angle vers toutes les directions, à leur départ entre les doigts de la main réunies et mesurées, une surface spirituelle toujours prête à établir la distinction de ce qui est dessus et de ce qui est au-dessous, comme l’aile qui sert à monter à descendre et dont le battement montre toutes les hésitations d’un esprit prêt à s’arrêter ou à fuir.
C’est l’éventail, qui, à la fois triangle et demi-cercle, dans le sens de l’horizon comme dans celui de la verticale, est l’instrument de tous les rapports et de toutes les connexions, visible dans le sens du champ, invisible dans celui de la tranche. »
Paul Claudel, L’Oiseau noir dans le soleil levant, Nô